Fin de la guerre, sur une plage de Normandie
Sur le dos, souriant à cette mort fatale
J’ai hurlé de rancune et j’ai levé le poing
Vers celui qui permit cette injuste rafale
Je me rappellerai, bien souvent, d’âge en âge
Que les temps soient en cours ou qu’ils soient révolus
Le ciel pâle et bleu où voguait un nuage
Dans ses beaux yeux ouverts qui ne me voyaient plus