Merveilleux brouhaha, poème d’amour, oui ! d’amour de la musique symphonique, et dédié à un de ses fan, notre hysard, à Eoz et à JB et tous ceux qui vivent ce type de musique, et celles, ça va sans dire.
L’étrange brouhaha,
Juste avant la musique
Quand s’accordent violon
Violoncelle et tuba
Hautbois et percussion
Et puis flûte et basson
Mais pas l’ocarina !
C’est un instant unique
Où le cœur suspendu
Laisse la rhétorique
Pour un trouble tout nu
Un silence attentif
Avant l’voyage fictif
Au plus haut de la nue
Et voici les trois coups
Le lourd rideau se lève
Allons ! Embarquez-vous
Voilà le sortilège
Et après la magie
Comme dit un’ petiote
Très, très loin d’être idiote
C’est d’la sorcellerie,
C’est fantastique
Où elle va, dis, Mamie,
La musique, quand c’est fini ?