Joie, joie, pleurs de joie.

Est-ce un vrai poème, pour moi oui ! Je l’ai déja dit il y a deux heures mais ce soir, euphorique, je ne peux penser qu’à ça. Il a perdu son immunité, Berlusconi l’immonde. Malgré ma patte folle, j’ai envie d’aller dans la rue, de danser avec mon déambulateur, d’ameuter les populations des cris de ma joie. À cette heure, chez nos amis et cousins de là-bas, dans notre deuxième patrie, il va y avoir de la viande saoule mais on leur donne l’absolution. Allez je vous quitte : j’ai plein de telefonate à donner au sud de Rome. Quelle belle nuit ! Allez, pour une fois, un petit, tout petit verre de vodka !