Voilà l’téléphon’ qui sonne !
L’affreux bruit strident résonne
Sur l’jardin fleuri d’anémones,
Cet air gorgé d’phéromones
Cette sonn’rie de démone
Quand je n’attendais personne !
Avant d’filer chez Bouglione
Pour voir l’exceptionnelle lionne
Qui, seule, sait jouer du trombone !
Tant pis ! vautrée sur mon beau « poltrone »,
Je lirai le Deutéronome
Ou bien Camillo et Peppone
C’est pas vrai ! V’là que ça resonne !
À ce point, là, moi je ronchonne, (hein, sava !)
Et vous lâch’ le mot de Cambronne !
Bof !