Venu ainsi

Je n’irai plus flâner du côté des fontaines
Ni jouer de la flûte, les pieds au frais dans l’eau
Ni danser avec vous, les vilains, les vilaines,
Au cœur du noir sabbat, terrifiant, mais si beau

Plus ne m’envolerai dans la fraîcheur des nues
Ce temps là est fini, et nous n’y pouvons rien
Nous n’irons plus en bande à l’appel de nos rues
Faudra juste, dormir, cela, on le sait bien.

Mais pourquoi, mais pourquoi, de nuit écrire cela ?
Trouver un peu de paix, sans doute, c’est pour ça.