Adieu, Nadège ô Dieu, ô Dieu bon !
Que n’ai je-la clef de ce sortilège
Celui de ce cœur de neige
Qui, jamais désir n’allège
Le cœur de cette Nadège
Maudit’ soit cette frigide
Qui va son chemin, rigide
Qui, un jour m’épousa
On se demand’ bien pourquoi
Amoureus’ comme un chardon
Glacial’ sous son cotillon
Cette âme presque homicide
Qui vous pousserait au suicide
Ce jour l’oublier j’décide
Et file me consoler
Oui je cours me réchauffer
Dans les bras d’une poupée
Peut être pas futée, futée
Mais pleine de bon vouloir
Pour guérir mon désespoir
Par ses yeux pleins de gaîté
Et pleins d’hospitalité
Parce qu’à la fin des fins
Marr’ de rester sur ma faim