Et cette fois voilà, j’ai quatre vingt berges !
Et ne fantasme plus, c’est vrai, sur les « onze mille vierges » !
Notre foutue planète n’étant pas extensible
Inutile de rêver un av’nir impossible
Sans larmes superflues coulant sur nos visages
Et sans se cramponner au-delà de nos âges !
Il nous faudra enfin libérer le plancher
Pour la vague de ceux qui viennent d’arriver
Ce ne seront pour nous chemins trop malaisés
Nous irons retrouver ceux qu’on a tant aimés