Mon cœur, mon cœur, que me veux tu ?
Laisse-moi donc un peu en paix
Mon cœur, tu n’es qu’un m’as-tu-vu
Et je suis lasse comm’ jamais.
Mon cœur, mon cœur, oiseau reclus
À qui doncque te donnerais
Sûrement au premier venu,
N’en fais plus cas ; je n’en peux mais.
Par la fenêtre ! dans la rue !
La cage vide, marcherai,
Plus n’entendrez ce farfelu
Battre chamade ou virelai
J’ai trop tiré ; je l’ai perdu.
Par la fenêtre ! Dans la rue.