Nous n’irons plus danser à la vieille guinguette,
Où l’ombre de Monet vagabonde sans bruit
L’accordéon s’est tu et mon cœur le regrette,
Seule l’odeur de l’eau habite notre nuit
Ces quatre vers revenaient avec insistance,
Alors : les voilà, fruits de l’insomnie
Simple « arrêt sur noire image »