Il a dans son bissac du lard, et son canif,
Un morceau de pain gris et beaucoup de misère ;
Il marche hors du temps et traîne un cœur à vif,
Il a presque oublié le regard de sa mère
Il s’en va dans le soir et ses seuls compagnons,
Dans sa barbe étoilée, ce sont les poux sans nombre ;
Regardez les oiseaux, habitants des buissons,
Moquant ce très vieil homme, qui querelle son ombre