Ceci est, une fois n’est pas coutume, un pastiche des vers médiévaux érotiques ! Oh ! la mamie ! J’ai essayé d’y mettre de la délicatesse…
Que celui de mon amie !
Dont les délicats replis
Sont pétal’ de rose enfouis
Au mitan de ses cuissettes,
Si veloutées et doucettes,
Si suavement gentillettes,
Et satinées et parfaites,
Parfois ce pertuis s’emplit
D’une eau non pas gélidée
Comm’ cell’ qui, au matinet,
Emplit les œillets, les lis
Mais tiède et odorante
De grisantes phéromones
Plus suaves que les arômes
De jasmins et amarantes
C’est le refug’ d’un oiseau
Le p’tit nid exquis, câlin
Qui, même, parfois étreint
Rendant grâc’, pour le cadeau