Dans la suave douceur de cet été indien
Les peupliers du parc pleurent toutes leurs feuilles
Pleurent leurs tendres larmes, icônes de nos deuils
Dans le vent si léger qu’il envoûte le chien
L’automne qui nous mène à nos grands disparus
Pour nous conduire ensuite au Saint Anniversaire
L’automne est saison douce et souvent débonnaire
Baignons-nous dans son charme, fils des orgueils vaincus