Taisez-vous donc, gars de la rue,
Qui transperce ainsi notre espace ?
C’est une grue, la blanche grue,
Arrivée du Japon, qui passe,
Elle bat lentement des ailes
Devant la lune et la séduit,
Voyez, voyez comme elle est belle !
Silencieuse, dans la nuit
Ô Lune, Lune de mon cœur,
Qui saurait donc la connivence
Soit grand bonheur, soit grand malheur !
Entre toi et l’oiseau qui danse.