Pour ma chère Marie L., en échange de ses souvenirs à elle : les poules qui nous ne reviendrons pas au glissaient sur le verglas et cette église de son village, où l’on venait taper les fronts des « à charge » contre la statue d’un saint punisseur !!!
Des jours éblouissants de la petite enfance,
Des souvenirs dormants, là-bas, au Bois chenu,
Au pays sans pareil qu’on appelait : la France ;
Et l’on n’entend plus guère siffler chardonneret,
Nous n’irons plus chercher cèpes et chanterelles
Peut-être n’avons-nous plus le nez tant aux aguets,
Les colombes, parfois, ont fatigué leurs ailes !
Nous ne les voyons plus au clocher du village,
Et ne demeure en nous qu’une très douce image