Formules foudroyantes

Ce que disaient souvent les parents :

Pleure, tu piss’ras moins.
Mouche-toi ne r’monte pas les poids d’la pendule !
Arrête tes grimaces, si l’vent tourne tu vas rester comm’ça !
Ferme ta braguette, ça f’ra plus gai.
Ne rigol’ pas quand j’gronde ta sœur !
Au moment de mettre un suppositoire : donne moi tes fesses, que j’t’arrache une dent !
Et les mamans antillaises disaient : viens, je vais te mettre un bonbon-fesse.
Si une ado se maquillait sans s’être débarbouillée : va donc hé ! coquette sale, t’as pas honte !
Si l’on avait envie d’une chose trop coûteuse : dis donc ! on n’a pas la bourse à Rothchild ! Tu l’auras quand les poules auront des dents !
Tu iras au bal quand tu auras eu ton bac, pas avant !
Et bien sûr : non ! tu iras jouer avec les voisines dès que j’aurai vu tes devoirs finis et qu’tu m’auras récité tes leçons !

Merci maman chérie aujourd’hui je peux te dire mille mercis.