Ces deux quatrains vont clore une série de poèmes à empreinte métaphysique. En ce domaine, je crois avoir exprimé ce que j’avais à dire. Après, inch Allah ! ce sera seulement rigolades, chansons légères voire gaillardes, et surtout mini poèmes pour les enfants. « Tenons-nous bien gais », propos de Vincent de Paul, un saint que j’apprécie. Ce n’est pas tous.
Durement, à l’aveugle, à tâtons, nous allons
Soulevés par le feu d’une intime espérance
Souffle mystérieux, que jamais n’expliquons
Mais quand les temps présents, pour toujours finiront
Reviendra la Lumière, épanouissant la Rose
Les portes du Château, bien grandes s’ouvriront
Et nous aurons alors, le fin mot de la Chose