Oui ! double vie, poème en duo avec moi même
Je n’pouvais jamais m’lâcher !
Mais maintenant, ça décole
Je ne peux plus m’arrêter,
Si mes voisins de la ville
Eux qui me croient si tranquille
Perçaient mon anonymat
Ils en resteraient babas
Et ces pauvres abusés
En seraient tout médusés !
J’verrais plus leurs p’tits gamins
V’nir traîner dans mon jardin
Entendr’ mes contes bizarres
Et le son de ma guitare
Croyez-moi, croyez-moi pô !
Ici j’dis jamais d’gros mots !