Dédié à Yankelevitch qui nous parla si bien du « je ne sais quoi » et du « presque rien » !
Quart de soupir ou « presque rien »
Un air plus tendre au cœur du bal
Mais qui ne dure, on le sait bien
Enfantin et fantasque Éros
Ta note bleue dévastatrice
Qui peut nous brûler jusqu’à l’os
Un jour n’est plus que cicatrice
Qui fait mal quand le temps est doux