Quand ne consolent plus psaumes et paraboles
Ni le calme odorant d’une chapelle sainte
Que j’aime errer la nuit parmi les térébinthes
Dans les grands bois obscurs criblés de lucioles
Parfois c’est apaisant, quand pointe le matin
Quand le cœur est brisé et que la cloche sonne
De laisser son fardeau, son bien trop lourd chagrin
Sans regard en arrière, aux pieds de la Madone