Je ne ne produirai plus que de très courts poèmes
Car je n’ai plus le souffle, et mes doigts sont usés
Les douleurs de ma main m’arrachent des blasphèmes
Qui pourraient me valoir virtuelles fessées
Alors moi, je vous dis : « Je suis morte de peur »
Comme on dit des fois aux séries américaines
J’ai honte dans mon cœur
Belles années jamais, non, jamais ne reviennent