Ah ! que n’ai-je

Sonne, sonne, sonne, douce clarinette
Et toi, rends-moi ton chant, mon cher vieux piano
Car en fermant les yeux, j’entends cette Ariette
Qui berça si longtemps nos deux cœurs, en duo

Où pourrais-je trouver sans trop de lassitude
Les heures flamboyantes des radieux midis
Si loin ses cruels jours, hélas ! que nul n’élude
Et les anciens parfums des étés évanouis.