Marie

Ô Marie
Par télépathie
Je te souffle mon souci
Le « blues » d’un cœur qui me nuit
En ton absence m’ennuie
De jour et bien plus encore de nuit
Tes paroles si légères
Papillons de bruyères
Me manquent beaucoup, bergère
Des rêves et des lucioles
Que tu mènes en rondes folles